Cannes International Triathlon – entraînement et reconnaissance

par | 9/05/2016

La pression de l’entraînement du triathlon

Le lendemain samedi matin, je me lève à 8h. Le rendez-vous est fixé à 9h dans le hall de l’hôtel en tenue de combat. Il est prévu  d’aller nager avec David Hauss, champion d’Europe de Triathlon sélectionné pour Rio 2016 quand même !! Alors autant dire que cela augmente encore la pression. Je me dis que n’étant pas un nageur confirmé,  je vais  vite me retrouver à la queue dans l’eau. Heureusement, cet entrainement s’est limité à  parcourir 500 mètres tranquillement entre deux bouées. Mais j’ai quand même réussi à boire une énorme tasse, le ventre vide. Elle  m’a valu un bon mal de ventre toute la journée !! 

A l’issue de cet entraînement, nous avons droit à de belles photos lors de notre sortie de l’eau par un photographe de Trimax Magazine. Je suis le seul à avoir oublié mon bonnet car lorsqu’on nage en mer, on n’emmène pas son bonnet, n’est ce pas ? Des photos de groupe sont réalisées en compagnie de David qui est très sympa et qui nous donne d’excellents conseils pour le lendemain !

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A peine sorti de l’eau, un bon petit déjeuner. Ma tasse du matin me restant un peu sur l’estomac, je ne peux pas avaler grand chose. Nous assistons ensuite à une petite conférence de presse et les nouvelles montres nous sont remises : la V800 « Javier Gomez Noya » Edition Spéciale, nouvelles couleurs, et nouvelles fonctionnalités.  Pour conclure cette matinée, nous enchaînons avec un footing sur la croisette d’une distance de huit kilomètres à partir de l’hôtel. Il nous mène  jusqu’au parc à vélos où les bénévoles sont à pied d’œuvre pour finir de tout préparer pour le lendemain. Ce footing reste  très compliqué pour moi suite à mon mal de ventre persistant. Je suis en compagnie d’autres Ambassadeurs et de Cyril de Polar.

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Stress et préparations avant l’épreuve

De retour à l’hôtel et après une bonne douche, nous prenons notre repas tous ensemble. Ce fut un très bon moment durant lequel  je me suis retrouvé assis à côté d’un homme très sympathique,  le directeur général France de Polar. Je remarquais à quel point les membres de cette société étaient agréables et accessibles et je me félicitais de la représenter durant une année entière.

Après-midi repos, tentative de sieste encore ratée, la pression toujours présente… Ensuite,  préparation des vélos et des sacs de transitions car nous devons  tous les déposer à 17h. Encore et toujours sous pression !!! Je cherche ce que je dois mettre dans mes sacs, j’ai peur d’oublier quelque chose. J’angoisse !!! Je frappe à la porte de mon voisin Franck (ambassadeur Polar mais aussi triathlète aguerri qui gère sa propre page  OutDoorHeroes ). Je lui demande de me donner un coup de main parce que je suis perdu !!

« Gonfle tes pneus.  » ;

« Pense à tes lunettes » ;

« As-tu un porte dossard ? »

Photo 16-04-2016 18 08 50Mais je n’ai pas de porte dossard alors je cours frapper chez Fabien (un autre ambassadeur et triathlète depuis quelques années, qui a également une page Facebook : blacketing.fr) : « help me, dis moi que tu as ça !! Ne t’inquiète pas  Seb,  j’en ai un en deuxième ». Ouf !!! heureusement qu’ils sont là tous les deux sinon j’étais fichu.

Se reposer

Après ce moment de panique et enfin prêt, je vais déposer tout mon matériel. Puis le  stress m’envahit  à nouveau en pensant au lendemain, le jour J, mon « premier triathlon ». J’ai le sentiment de revivre la veille de mon premier marathon de Paris en 2013. J’adore ressentir à nouveau ces sensations, cela faisait longtemps !!!

En soirée, nous prenons le repas du sportif : salade de quinoa en entrée, puis pâtes sauce tomates et petit gâteau à la pomme (si je me souviens bien) en dessert et uniquement de l’eau à table bien sûr !

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